Nouveautés philosophie, spiritualité et psychologie
Amour et sens de nos rencontres
<p>Pourquoi elle, pourquoi lui ? Toujours la même question cent fois posée, dont la réponse est, pour certains évidente, pour d'autres, inaccessible. Aucune logique, en apparence. Et pourtant... N'y aurait-il pas, intimement imprimée en nous, une prédestination à vivre l'amour d'une certaine manière, au service de motivations qui nous échappent et dont certaines remontent à l'histoire de nos ancêtres ? Ce livre éclaire la cohérence de nos choix amoureux en explorant les composantes qui entrent en jeu dans nos rencontres, qu'elles soient généalogiques ou plus directement liées à nos problématiques personnelles inconscientes. Il nous propose de déjouer les pièges liés à l'héritage généalogique autour de la question du couple. Au-delà des stéréotypes, nous pourrons alors rendre à nos trajectoires amoureuses leur véritable raison d'être : celle de nous guider vers une certaine rencontre avec nous-mêmes, sur la voie d'une réalisation plus complète...</p>
Histoire de « la fin de l’Histoire »
On ne cesse de parler de « la fin de l’histoire ». Toute la géopolitique contemporaine semble se placer sous le signe de cette fin annoncée. C’est à une enquête philosophique sur le sens de cette expression galvaudée mais mystérieuse que nous convie Florian Larminach. Si l’Histoire a une fin, c’est qu’elle a un but et donc une signification : est-ce le cas ? Vers quoi s’achemine la marche des siècles ? De Kant à Fukuyama, en passant par Hegel et Marx, cette idée de « fin de l’histoire » a connu des métamorphoses. La thèse soutenue dans cet ouvrage est que l’on est passé de l’idée que cette fin n’était pas encore advenue à la certitude qu’elle avait déjà eu lieu. Que signifie alors notre présent ? Et vers quel avenir nous acheminons-nous ? Quel sens a encore l’histoire ? Des questions plus que jamais d’actualité.
L' Art d'en faire juste assez
Dans nos vies très sollicitées, on a souvent l’impression d’en faire trop, ou de ne pas arriver à en faire assez. Comment doser nos efforts avec justesse ? Comment atteindre nos objectifs sans nous épuiser ni procrastiner sans fin ? Pour comprendre les ressorts de notre énergie, Gaëtan Cousin met en lumière la notion d’effort émotionnel : quand nos besoins psychiques sont trop frustrés, tout paraît plus difficile. Hérités de l’enfance, des schémas dysfonctionnels qui gouvernent notre rapport à l’action peuvent nous enfermer dans une spirale d’efforts mal placés, d’oubli de soi ou, au contraire, nous paralyser devant l’action. Ce livre nous aide à nous libérer de ces contraintes intériorisées pour identifier clairement nos besoins et nos valeurs. Pour prévenir le burn-out et lutter contre l’inaction, un guide pour retrouver notre bien-être émotionnel et nos priorités de vie. Gaëtan Cousin est docteur en psychologie. Après avoir travaillé en tant que chercheur au département de psychiatrie de l’Université d’Oxford en Angleterre, il exerce aujourd’hui en tant que psychologue-psychothérapeute. Il est également directeur exécutif du master of advanced studies (MAS) en psychothérapie comportementale et cognitive de l’Université de Lausanne, en Suisse. Il a écrit, avec Konstantin Bu¨chler, Du calme. Comment lutter contre l’agitation intérieure, et, avec Dominique Page, Le Bien-Être émotionnel. 9 clés pour vivre la pleine conscience.
La splendeur du monde
« C’est beau ». En trois mots, tout est dit. Devant un paysage comme devant un tableau, les mêmes trois mots. Que veulent-ils dire ? Qu’expriment-ils : un plaisir, une préférence, une appréciation culturelle ? Et si c’était tout cela à la fois et bien plus encore ? Et si la beauté, notre capacité à la voir, à la sentir et à l’entendre, était la manière singulière et profonde que nous avons d’être vivants, sur cette Terre ?<br>Au fil d’une trentaine de textes lumineux, mettant en scène ses propres expériences esthétiques, Laurence Devillairs tente d’élucider le mystère de la rencontre avec la beauté et nous invite à réapprendre à voir le beau, qui nous échappe souvent par manque de temps ou conformisme.<br>Elle propose pour cela des « exercices d’esthétiques appliqués » - tenter d’apprécier ce qu’on n’aime pas, voyager comme Bouvier sans attentes ni plans, accomplir non pas une bonne action mais un beau geste. Le jeu en vaut la chandelle ; qu’elle soit naturelle, créée ou bien même morale, la beauté nous fait une grande promesse, celle d’être émerveillés, changés et d’exister de façon plus accomplie.
Spinoza, la décision de soi
<p><b>Une brillante interprétation de la philosophie de Spinoza : comment apprendre à vivre sa vie, plutôt que de s’évertuer à la sauver.</b></p>
<p>Décider de soi, ce n’est ni devenir quelqu’un d’autre, ni devenir soi-même, mais bien plus impersonnellement devenir toute chose : réorienter son existence de telle sorte que l’ensemble des événements et des rencontres qui adviennent ne constitue plus une pluie hasardeuse de joies et de tristesses, d’espoirs et de désespoirs, mais une suite nécessaire d’accords de plus en plus joyeux, de plus en plus puissants et de plus en plus libres entre soi et son environnement. Mais comment y parvenir quand on ne croit ni en la volonté ni en Dieu, quand on ne sait ni ne peut décider de quoi que ce soit ? C’est là tout le problème de Spinoza. Et toute sa solution : <b>apprendre à s’inventer un plan de vie où nos joies cessent d’être de simples instants volés sans lendemain pour devenir les rouages d’une machinerie spirituelle qui nous renforce à chaque pensée, à chaque sensation, à chaque rencontre</b>. Tout le but de ce livre est de déplier une telle solution pour la rendre accessible à tous, dans le texte de Spinoza et même au-delà.</p>
<p>Maître de conférences en philosophie à l'université Paris-Cité, <b>Pierre Zaoui</b> a notamment publié <i>La Traversée des catastrophes. Philosophie pour le meilleur et pour le pire</i> (Seuil, 2010), <i>La Discrétion</i> (Autrement, 2013) et <i>Beautés de l’éphémère. Apologie des bulles de savon</i> (Seuil, 2024).</p>
Alice au pays des idées
<P><STRONG>Comment vivre ? Selon quelles valeurs ? Dans quel but ?</STRONG></P><P></P><P><STRONG>Alice s’inquiète du sort de la planète et de l’humanité.</STRONG> Elle se demande aussi ce que sera son existence. </P><P>Son rêve : trouver la phrase décisive qui ne la quittera plus, la guidera toujours et partout... </P><P></P><P><STRONG>Basculant au pays merveilleux des idées, Alice va sillonner les siècles et les civilisations</STRONG> à la rencontre des sages et des philosophes qui, de l’Antiquité à nos jours, ont cherché à comprendre le monde. </P><P></P><P><STRONG>Un passionnant roman initiatique</STRONG>, drôle et accessible à tous, pour découvrir l’histoire des idées et le sens de nos vies. </P>
Avoir le courage de ne pas être aimé
<p>Sous ce titre provocateur qui va à l'encontre de tout ce que l'on nous apprend depuis notre enfance, ce livre, très accessible et profond, nous explique comment débloquer le pouvoir qui est en nous et qui ne demande qu'à s'épanouir pour que nous soyons la personne que nous souhaitons vraiment être. Et cela, sans tenir compte du regard des autres, sans nous soucier de leur approbation. En s'appuyant sur les théories d'Alfred Adler, l'un des trois géants de la psychologie du début du XXe siècle aux côtés de Freud et de Jung, ce livre suit une conversation éclairante entre un philosophe et un jeune homme. Le philosophe explique à son élève comment chacun d'entre nous est capable de déterminer sa propre vie, sans les entraves des expériences passées, des doutes et des attentes des autres. C'est une façon de penser profondément libératrice, nous permettant de développer le courage de changer et d'ignorer les limites que nous et les personnes qui nous entourent peuvent nous imposer.</p>
Cher TDAH : Tout savoir pour que mon cerveau soit mon allié
<p><strong>Comment trouver sa voie quand son cerveau fonctionne différemment ?</strong></p><p>Déficit de l’attention, hyperactivité motrice et impulsivité : <strong>Jessica McCabe</strong> a toujours été en lutte avec son cerveau. À 32 ans, sans argent, divorcée et vivant chez sa mère, elle parvient à développer des stratégies pour retrouver un rapport apaisé avec elle-même. Dans ce livre écrit par et pour des cerveaux TDAH, elle partage les outils qui ont changé sa vie.</p><p><strong>Afin de faire de votre TDAH un allié, retrouvez tous les conseils pour :</strong><br>• Cesser de lutter contre votre vraie nature ;<br>• Faire preuve de bienveillance envers vous-même ;<br>• Limiter les distractions et renouer avec la concentration ;<br>• Vous fixer des objectifs qui n’appartiennent qu’à vous ;<br>• Identifier pourquoi vous avez des difficultés à vous organiser et à prioriser ;<br>• Comprendre vos émotions et les laisser s’exprimer pour mieux les réguler.</p><p>LE LIVRE DE L’AUTRICE QUI A CHANGÉ LA VIE DE MILLIONS DE PERSONNES À TRAVERS LE MONDE !</p><p><strong>Jessica McCabe</strong> est la créatrice de la chaîne YouTube « How to ADHD ». Elle transmet au grand public le fruit des dernières découvertes scientifiques sur le TDAH, ainsi que les outils éprouvés pour le gérer au quotidien. Elle a remporté de nombreux prix, et reçu la validation des milieux scientifiques et médicaux. Son travail a été publié dans différents médias dont le <em>Washington Post</em>, et son livre, best-seller du <em>New York Times</em> traduit dans 16 pays, est déjà un succès mondial.</p>
Dieu et la connaissance du monde
Le volume rassemble les principaux textes d’Averroès (1126-1198), traduits de l’arabe, sur la question du savoir que Dieu a du monde : le connaît-il, et jusqu’où ? Dieu sait-il ce que sont les individus, les choses singulières, connaît-il le détail du réel ou n’en a-t-il qu’une connaissance globale, générale ? Ce problème majeur est l’un des points de conflit entre la philosophie et la théologie en Islam.
Donner un sens à l'absurde
Ce livre est une expérience. Inspiré par l’étrange et le bizarre, ce livre est une tentative d’utiliser la science et la rationalité pour lever le voile sur l’irrationnel. Ses voies sont inhabituelles : en les suivant, on rencontre les ovnis et les fées, la mécanique quantique, la philosophie analytique, l’Histoire, ...
Faire la paix avec soi-même
<p>Apprendre à s'aimer est difficile. Cela demande du temps. Il s'agit à la fois de se connaître soi-même et d'être fier d'exister, avec ses qualités et ses manques, mais singulier et unique. L'auteur nous invite sur le chemin de cet apprentissage. Quelles en sont les étapes ? D'abord, nous lèverons le voile sur ce qui nous empêche d'être heureux, afin de lui donner un sens et de nous en libérer : nos angoisses, nos culpabilités, nos hontes, nos exigences tyranniques, nos conflits intimes... En acceptant ensuite de vivre notre solitude, nous nous ouvrirons à des relations créatives et fécondes.</p>
J'apprends à me consoler
" Ce livre est pour moi. En le lisant, je me fais une promesse, celle d’accueillir et d’accepter tous les ressentis, les images, les intuitions, les pensées, les souvenirs, même sombres, qui me traverseront. Je m’ouvre à mes parts d’ombre autant qu’à mes parts de lumière. Que ces souvenirs, ces pensées et ressentis soient agréables ou désagréables, je leur souhaite la bienvenue et je chemine avec eux."<br><br>Pourquoi est-il souvent plus facile de consoler un enfant ou un ami que de se consoler soi-même ? Pour quelle raison, lorsque nous sommes troublés, agités, ou tout simplement tristes, avons-nous si peu de patience et d’indulgence envers nous-même ? Pourquoi sommes-nous si peu enclins à prendre soin de nous ?<br><br>Dans cet ouvrage, pensé comme un véritable manuel d’autoconsolation, l’auteur vous encourage à accueillir vos fragilités, vos peines et vos blessures comme vous le feriez pour un ami, avec bienveillance et compassion.<br><br>À travers 30 ateliers thérapeutiques conçus comme des capsules de réconfort, Saverio Tomasella a concocté plus de 150 exercices et pratiques concrètes pour vous aider à vous donner jour après jour ce dont vous avez besoin et aller vers l’apaisement.<br><br>Auteur de nombreux ouvrages à succès, Saverio Tomasella est docteur en psychologie clinique, chercheur et conférencier.
L'art subtil de s'en foutre
<h4>
Un livre de développement personnel pour ceux qui détestent le développement personnel</h4><p><strong>Le discours ambiant nous pousse sans cesse à nous améliorer. Sois plus heureux. Sois en meilleure santé. Sois plus intelligent, plus rapide, plus riche, plus sexy, plus productif. Mais il faut en finir avec la pensée positive, nous dit Mark Manson. "Soyons honnêtes : parfois tout va de travers, et il faut faire avec."</strong></p><p>
Depuis quelques années, à travers son blog au succès phénoménal, Mark Manson explore les aspirations délirantes qui déforment notre perception du monde. Il propose ici sa sagesse pratique, joyeusement insolente. C'est en regardant en face nos peurs, nos défauts et nos incertitudes - en arrêtant de fuir et d'éviter -, que nous pourrons trouver le courage et la confiance qui nous manquent tant.</p><p>
Mark Manson invite à un moment de parler vrai en mode je-te-regarde-dans-les-yeux, fait d'histoires vécues et d'humour potache. Un livre-manifeste pour construire des vies plus réjouissantes, plus ancrées.</p>
L'opportunité de vivre
Continuer de vivre ou décider d’en finir, c’est une question d’opportunité plutôt que de principe : telle est la leçon d’Épicure, des stoïciens et de Montaigne. Encore faut-il être vivant pour en décider. L’opportunité de vivre est donc première, et c’est elle qui requiert tous nos soins : la philosophie ne nous apprend à mourir, comme disait Montaigne, que parce qu’elle nous apprend d’abord à vivre. Car que vaudrait une philosophie qui n’aiderait pas à juger – non une fois pour toutes mais en fonction des circonstances – que la vie, comme disait Camus, « vaut ou ne vaut pas la peine d’être vécue » ? Ces « ultimes études » viennent clore le triptyque entamé en 1994 avec Valeur et vérité (Études cyniques) et prolongé en 2015 avec Du tragique au matérialisme (et retour). André Comte-Sponville y éclaire son propre cheminement en s’appuyant sur celui de ses maîtres de prédilection : Épicure, les stoïciens, Montaigne, Spinoza, Alain, Louis Althusser et Marcel Conche. C’est l’occasion pour lui de porter des éclairages forts sur des questions très actuelles, comme celles qui touchent au cerveau, à la spiritualité ou au matérialisme.
La Société de la trahison
<P>Quels sont les mécanismes de la trahison et comment apprendre à la débusquer ? Quels nouveaux atours revêt-elle dans le monde contemporain ? Et surtout, comment la combattre pour remédier à la vaste « crise de la confiance », qui a contaminé notre société ?</P><P>C’est le propos de ce livre passionnant qui explore la trahison, cette grande oubliée de la philosophie, pourtant au cœur de notre culture et de notre quotidien : relations amoureuses, familiales, amicales, vie professionnelle ou politique...</P><P>Dans ce monde du chacun pour soi, il s’agit de « courir le risque de la loyauté » et de réaffirmer notre fidélité à des idéaux qui ne fléchissent pas sous le poids de la facilité ou de la peur. </P><P>N’est-ce pas la clé pour en finir avec la société de la trahison ? </P><P></P><P>Vincent Cespedes, philosophe, essayiste, est l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages dont <I>L’Homme expliqué aux femmes : l’avenir de la masculinité</I>, <I>L’Ambition ou l’Épopée de soi </I>(Flammarion), ainsi que <I>Les 50 plus grandes théories des philosophes français</I> (collection « 3 minutes pour comprendre<I></I>»,<I></I>Courrier du Livre).</P>
La Vie sensible
Ce livre se propose de réhabiliter la sensibilité. Il y a une certaine urgence car c'est par la sensibilité que nous tenons au monde et que le monde tient à nous.
Le plus grand des amours
Qui suis-je ? Quels sont mes désirs ? Comment ne pas passer à côté de ma vie ?
Nous sommes nombreux à nous interroger et à ressentir un sentiment diffus d’insatisfaction, de tristesse, d’anxiété, si ce n’est de dépression. Cet ouvrage est une réponse à tous ceux qui connaissent ce vague à l’être, ce sentiment de n’avoir jamais trouvé leur juste place dans l’existence.
En apprenant à reconnaître vos aspirations profondes et à vivre en bonne entente avec vous-même, vous découvrirez que notre Moi peut être le plus précieux des compagnons.
Monique de Kermadec nous engage à mener cette quête intérieure, sans jamais perdre de vue trois ancrages essentiels : la liberté de s’aimer dans la bienveillance, l’engagement de se respecter au quotidien et la capacité d’assumer ses erreurs.
Le rêve de Marc Aurèle
À travers le succès constant des Pensées pour moi-même, ouvrage qui a aidé des millions de lecteurs à vivre, la figure de l’empereur romain Marc Aurèle (121-180), popularisée par Gladiator, le film culte de Ridley Scott, nous interpelle : comment le dirigeant de l’un des plus grands empires du monde a-t-il pu conserver la sérénité au milieu du tumulte des guerres, des trahisons, des épidémies ou des catastrophes naturelles qui secouèrent son règne pendant près de deux décennies ? La réponse se trouve dans la philosophie à laquelle il a été formé très jeune et pour laquelle il éprouva une vive passion : le stoïcisme.
Frédéric Lenoir dresse un portrait à la fois émouvant et sans complaisance de Marc Aurèle, empereur parfois inflexible mais homme sensible et tourmenté, qui aspirait à devenir meilleur et à être utile au monde. Il nous fait aussi découvrir les grandes clés de la pensée stoïcienne et des Pensées pour moi-même : l’univers est tel un grand être vivant où tout est interdépendant ; le bien et le mal n’existent que dans l’intention morale et non dans les événements extérieurs ; la liberté et la joie résident dans l’acceptation aimante de notre destin ; ce n’est pas la réalité qui nous rend heureux ou malheureux, mais la représentation que nous en avons ; la poursuite du bonheur individuel doit toujours être reliée au souci du bien commun…
Autant de thèmes qui répondent aux questions essentielles que nous nous posons sur le sens de la vie et sur la possibilité de conserver la paix intérieure dans un monde troublé.
Nos dernières fois - Défier la nostalgie
<p><b>Dernier jour, derniers mots, dernier regard, dernière caresse, dernier verre, ces événements sont toujours des marqueurs dans nos vies, mais pas toujours des fins.<br> Comment y répondre autrement que par l'appréhension, la tristesse et la nostalgie ?</b><br>Il y a les dernières fois qui ne dépendent pas de nous et auxquelles nous essayons, tant bien que mal, de nous préparer - la fin des études, la vente d'une maison de famille, la retraite, la mort des aînés.
<br> Il y a celles que nous ne voyons pas venir, et que nous subissons : la rupture amoureuse, amicale ou professionnelle, le divorce des parents, la perte d'un proche par accident. Et celles que nous recherchons et qui nous libèrent : la fin d'une relation toxique, d'une maladie, d'une dépendance.
<br> Dernier jour, derniers mots, dernier regard, dernière caresse, dernier verre, ces événements sont toujours des marqueurs existentiels, mais pas toujours des fins. Comment y répondre autrement que par l'appréhension, la tristesse et la nostalgie ? Les dernières fois clôturent des cycles, provoquent de nouveaux départs, chapitrent nos vies. Elles interrogent le temps qui court, déterminent notre rapport à l'instant présent.</p>
Parler avec sa mère
« J’ai souvent pensé, étudiant les ouvrages d’écologie où les amateurs de grands espaces et les aventurières partent traquer les loups, observer les champignons, s’émerveiller des poulpes ou défier les ours que, s’ils avaient rencontré ma mère, ils auraient eu sous les yeux une créature tout aussi fascinante, dont les particularités m’ont toujours replacé dans un écosystème familier, au contact d’une intimité aussi problématique que celle qui nous lie toutes et tous, sans que nous comprenions très bien comment, au reste des systèmes terrestres. »
Ainsi s’ouvre un grand livre sur l’amour filial, qui explore la gamme si riche des interactions et des sentiments qui nous lient à nos mères, de la naissance à la mort en passant par le grand âge. Maxime Rovere y développe une réflexion éthique profondément novatrice qui nous enseigne le chemin joyeux d’une reconnexion avec le monde.
Quand la girafe danse avec le chacal
<p><strong>« La CNV est une méthode pour se relier à la partie de soi qui est capable de comprendre avec son cœur. »</strong></p><p>Imaginez que vous êtes en colère contre votre partenaire. Comment allez-vous exprimer vos sentiments sans qu’il ou elle se sente agressé(e) ? De même, comment entendre ses reproches sans vous sentir cruellement blessé(e) ? Vous trouverez dans ce livre les quatre étapes essentielles pour que votre communication soit constructive. </p><p>Cela vous permettra d’aller vers l’autre avec empathie et compréhension mais aussi de mettre fin aux éternels conflits, rancœurs et attitudes belliqueuses qui ternissent votre vie quotidienne. </p><p>Cette méthode prend racine dans les idées de<strong> Marshall B. Rosenberg</strong> et propose un décryptage essentiel de la ­Communication NonViolente.</p>
Réparons le monde
<p>Notre capacité à relever le défi climatique et à promouvoir plus de justice envers les autres, y compris envers les animaux, suppose un remaniement profond de nos représentations sur la place de l’humain dans la nature. Dès que nous prenons au sérieux notre vulnérabilité et notre dépendance à l’égard des écosystèmes, nous comprenons que notre habitation de la Terre est toujours une cohabitation avec les autres. Ainsi, l’écologie, la cause animale et le respect dû aux personnes vulnérables ne peuvent être séparés. De plus, la conscience du lien qui nous unit aux autres vivants fait naître en nous le désir de réparer le monde et de transmettre une planète habitable. C’est à cette éthique qui n’a rien à voir avec des injonctions moralisatrices et culpabilisantes que ce recueil ouvre la voie.</p>
<p><strong>Deux textes inédits</strong></p>
Se vouloir du bien et se faire du mal. Philosophie de la dispute
« Plus on s’aime, mieux on se déchire. » Face à ce paradoxe, Maxime Rovere explore la dispute sous toutes ses coutures, pour en désamorcer les travers et en embrasser la vitalité. Plaçant la philosophie au milieu du théâtre des interactions humaines, ce livre résolument optimiste peut se résumer ainsi : « aucune souffrance n’est indispensable, aucune souffrance n’est gratuite. » Car ce sont peut-être moins les paroles qui blessent que les brèches qu’elles ouvrent, comme autant d’invitations à découvrir nos proches et notre sensibilité – encore faut-il apprendre à l’habiter.
Une magistrale remise en perspective de nos errements, de nos insuffisances et de nos idéaux.
À fleur de peau
<p style="font-size: 11px;"><B>Le roman initiatique des hypersensibles</B><br><br>– Je vais mieux depuis quelque temps.<br>– Ça se voit !<br>– En même temps, j'ai l'impression d'être plus fragile. C'est curieux, non ? Par exemple, je supporte de moins en moins bien les piques d'Estelle... Je n'arrive pas à passer outre.<br>– Flo, c'est difficile de ne pas se sentir blessé quand on est attaqué, non ? Pour moi aussi, pour tout le monde. Tu es sensible, voilà tout !<br>– Trop sensible...<br>– Comment peut-on être « trop » sensible ? Quelle idée ! La sensibilité est une vraie qualité. Un être humain n'est jamais trop sensible !</p><p style="font-size: 11px;">Flora a tout pour elle : un fils drôle et adorable, un mari brillant, des amis sincères, un jardin qu'elle aime et un beau cerisier. Pourtant, elle a l'impression que son extrême sensibilité perturbe sa confiance et la pousse parfois à se replier sur elle-même. Un soir, elle rencontre Marc, professeur de yoga... Comment l'aidera-t-il à surmonter son hypersensibilité ?</p><p style="font-size: 11px;"><B>Inclus :</B> un cahier pratique pour tout savoir sur les manifestations de l'hypersensibilité et toutes les pistes pour l'apprivoiser !</p><p style="font-size: 11px;">« Un livre qui donnera envie à ceux qui ne sont pas hypersensibles de le devenir ! » - <B>Flavia Mazelin Salvi, <em>Psychologies Magazine</em></B><br>« Un roman sur l'hypersensibilité qui nous touche en plein cœur, nous aide à mieux nous comprendre... Soyons fiers de notre sensibilité, loin d'être une faiblesse, c'est une véritable force ! » - <B>Caroline, du blog Au boudoir écarlate</B></p>